jeudi 19 novembre 2009

VACCIN ISLAMIQUE: coutumes et immunisation





VACCIN ISLAMIQUE




Francois Babak Pourbagher
Francois Pourbagher
Babak Pourbagher
Pourbagher Francois


Vous avez certainement remarqué que la plupart des coutumes ou conseils religieux découlaient d’une menace de santé ou de société qui existait à l’époque de la création de ces préceptes.

L’interdiction de la consommation de la viande porcine provient très probablement de la mortalité élevée que générait la consommation de cette viande due aux différents parasites véhiculés par le porc.
Les dignitaires religieux ou étatiques, voulant éradiquer ou diminuer cette mortalité sans en comprendre toutefois ni la cause ni le mécanisme mais en devinant la source, ont pensé que l’interdiction divine allait mieux être respectée qu’une interdiction sociale ou de justice.

Il semble que très souvent les dirigeants ont inclus dans les commandements religieux certaines précautions de santé afin que celles-ci soient respectées au plus haut niveau et avec sérieux.

La coutume qui consiste à manger du poisson les vendredis, empêche très certainement certaines maladies comme l’hypothyroïdie ou le rachitisme car le poisson contient des substances telles que l’iode, ce que ne contient pas la viande.

Le carême, par exemple, est certes une nécessité pour se rappeler la faim et penser aux pauvres, mais c’est aussi un mois qui permet de ramener le métabolisme à un taux de graisse et de stabilité qui évitera les maladies cardiovasculaires. Rappelons qu’en ces temps-là, la viande et le gras faisaient parties intégrantes de l’alimentation des seigneurs et leur durée de vie étaient assez courtes en raison des problèmes de gouttes ou de cholestérol inconnus à cette époque.

Les humains constataient donc les effets, en devinaient la cause éventuelle et essayaient d’interdire à l’aveugle la source possible. (Essais/erreurs)

La coutume du « Vouzouh » (Islam) qui consiste à se laver les mains, le visage et les pieds avant la prière, a probablement sa source dans le souci de garder les lieux de prière le plus propres possible, éviter les mauvaises odeurs et aussi inciter les gens à un minimum de propreté bénéfique à leur santé et cela au travers de préceptes religieux.

Les amichs ou mormons, sont polygames car la jeunesse de leur religion nécessite une croissance importante des enfants afin d’ancrer et de faire prospérer leur religion.

Les indiens respectent les vaches car s’ils en consommait la viande, il n’y aurait pas assez de vaches sur la terre et leur pauvreté fait que le lait inépuisable de la vache les sert infiniment mieux que la viande vite consommée.

Parfois, certaines coutumes ou préceptes religieux ont entraîné des conséquences bénéfiques et imprévisibles.
Nous allons essayer d’en analyser un qui est un précepte islamique et qui pourrait avoir eu un effet autre que celui pour lequel il a été créé à l’origine.

Dans les pays islamiques, il est de coutume d’installer un tonneau d’eau potable ou même de laisser à disposition un robinet ou tout autre moyen, pour que les passants puissent boire un verre d’eau en période estivale.

C’est considéré comme un acte charitable et qui amène la bienveillance de dieu sur la personne ayant installé ce système dans la rue.

En règle générale, ce sont les commerçants qui installent un tonneau en fer blanc devant leurs échoppes et y suspendent une sorte de gobelet en fer blanc accroché par une chaînette au tonneau.

Les passants se saisissent du gobelet, y versent de l’eau en ouvrant un petit robinet, boivent et relâchent le gobelet qui tient par une chaînette. Souvent le propriétaire du magasin inclut dans son tonneau quelques kilos de glace afin que l’eau soit fraîche.

Dans les administrations, le même système existe mais on rencontre maintenant plus souvent les fontaines à l’européenne.
Dans les mosquées, ce système perdure et à l’ancienne.

Normalement et logiquement ce système doit provoquer des transmissions de germes pathogènes et provoquer des épidémies de grippe ou de dysenterie ou autres…. Si ce n’est pas le cas, cela mérite certainement d’en déterminer la cause et de comprendre le mécanisme protecteur au terme d’une étude et recherche approfondies et scientifiques.


I) Gobelet risques sanitaires et pandémies

Ce système destiné à rassasier le voyageur ou le passant en période de chaleur peut sembler pittoresque et sympathique à prime abord mais, en regardant de plus près et en réfléchissant au système du gobelet, ne pourrait-on pas penser que ce gobelet, manipulé et utilisé par une foule disparate et éparse, pourrait être la source d’une épidémie de choléra, de grippe, de dysenterie etc. ?

Apparemment, ce ne doit pas être le cas car sinon le même système qui avait interdit le porc aurait depuis longtemps interdit ce gobelet aussi en constatant les effets néfastes.
On ne remarque aucune appréhension chez les personnes qui utilisent le système du gobelet en pleine rue, alors qu’une autre personne vient, devant eux, d’utiliser le même gobelet à même la bouche.
Probablement la confiance au divin les rassure-t-ils, mais dans les faits la vox populi ne relate aucun danger concernant l’utilisation de ce gobelet et ce système de tonneau qui, parfois, a le dessus ouvert et récolte ainsi moult poussières et particules en suspension dans l’air.

Ce simple fait que personne ne redoute une infection et que personne n’a relaté avoir été malade après l’absorption d’eau par ce système incite à comprendre le mécanisme miraculeux et scientifique qui préserve la santé des personnes.

Une réponse première peut être de dire que les gens sont infectés mais ne font pas la relation de cause à effet.
Pour y voir plus clair et comprendre la vérité, le meilleur système consiste, dans un premier temps, à suivre et vérifier l’état de santé des consommateurs de ce type d’eau.

Constater le nombre de malades, selon l’âge, la fréquence d’utilisation, le niveau social, le sexe, la situation familiale etc. Et ensuite, essayer de voir si le danger existe mais est ignoré ou bien si un possible miracle intervient.
En tout cas, le but premier est de savoir si un système aussi simple et évidemment source d’infection est un danger ou non pour la population.

Pour ce faire, nous avons sélectionné un échantillon de personnes volontaires et les avons suivies pour un temps et surtout noté les maladies.

La sélection des personnes a été faite de manière à ne laisser aucune place à un biais éventuel et de donner vraiment une idée réelle de la situation sanitaire en fonction de l’utilisation du gobelet et non pas d’une possibilité autre qui pourrait fausser les résultats.

La relation avec les personnes échantillonnées a été faite soit par téléphone, soit par internet.


Les personnes sont toutes volontaires, ne connaissent pas le but de l’étude, ne sont pas rémunérées et le font par simple volonté d'aider la médecine de leur pays et par curiosité de connaître, in fine, le pourquoi de l’étude.

De plus, nous avons inclus un lot neutre qui ne consommait pas en utilisant un gobelet afin de ne pas confondre une pandémie normale et inévitable avec une infection due au gobelet.
 
Nous comparons donc un échantillon hors risque et normal à un échantillon soumis au risque et devant présenter une différence en matière d’infection au regard des règles normales d’hygiène.
 
Précautions statistiques
 Le choix de notre population test a été fait de sorte qu’aucun biais ne puisse fausser les résultats ; à ce titre, nous avons pensé à éliminer les populations suivantes :

• maladies chroniques : générales, héréditaires, asthme, rénal, bronchite, cardio- vasculaire, cancer (guéri ou non), diabète, sida, hépatite, trouble mentaux, dépression (guérie ou non), antécédents chirurgicaux (autre que accouchement ou esthétique) épilepsie, maladie de Crohn, maladies dermatologiques, maladies digestives, thalassémie, invalidité même légère, problème visuel
• antécédents familiaux de maladies graves


• prise de médicaments (mêmes plantes) durant notre test et une année avant

• avoir un médecin traitant ou non

• avoir une alimentation normale (non végétarien ou autres…)

• ne pas avoir un métier à risque sanitaire (hôpitaux, infirmière, médecin, …)

• ne pas voyager loin et en dehors du pays surtout pendant la période de test.

Nous avons donc séparé les différentes populations afin d’avoir et de pouvoir comparer les résultats et le biaisage de chaque facteur sur le résultat général.
Le lot complet se compose d’environ 1 500 personnes.
Nous avons suivi ces personnes pendant cinq années, de 2004 à 2008.
Le panel était composé d’environ moitié de femmes et moitié d’hommes.


Parmi ces personnes, 1 000 ont utilisé le gobelet et le tonneau et 500 étaient étrangers à cette coutume : nous avons donc comparé les deux populations au niveau des maladies simples : grippe, infection des voies respiratoires et gastriques.

Voir graphe « Population Test »

Afin de ne pas biaiser le résultat par les conséquences de l’âge, nous avons choisi une population moyennement jeune et active de 20 à 40 ans, équitablement répartie.
Pour éviter l’influence d’une hygiène ou d’un mode de vie, nous avons aussi essayé de différencier la classe sociale des participants, sans toutefois vérifier et en faisant confiance aux déclarations. Il semble improbable toutefois que la classe sociale ait vraiment une influence sur notre étude.
Une grande majorité s’est avérée appartenir à une classe aisée.

L’éducation et la sensibilisation à l’hygiène ont aussi fait partie de notre sélection et nous avons bien vérifié que tous les participants aient une notion bien réelle et sincère des notions d’hygiènes et d’infections. Toutefois, nous présentons un graphique qui donne les pourcentages en fonction du niveau d’études.

Le fait d’être célibataire ou marié a aussi fait l’objet d’un graphique, toutefois, là aussi, il semble improbable que cela influence notre étude.

Le fait d’avoir contracté une maladie grave pendant ou avant le test a aussi fait l’objet d’un graphique mais le nombre est faible et ne risque pas d’influencer les résultats.

La prise de médicaments a aussi fait l‘objet d’un graphique mais celui-ci suit la courbe précédente et donc le nombre est si faible que cela ne risque pas d’influencer les résultats.

Les résultats sont à la mesure de nos inquiétudes.

La population totale présente un taux de maladies d’environ 14% en moyenne sur cinq ans.


Le groupe test qui utilise le tonneau et son gobelet a un taux d’environ 12% et celui qui n’utilise pas le gobelet a un taux de 19%.(16 à 20% : conforme aux statistiques nationales de l’Iran).

Nous pouvons donc conclure qu’apparemment, non seulement l’utilisation du gobelet ne provoque pas de pandémie mais au contraire semble atténuer le nombre de malades et d’infections !
 
Cela est juste un résultat et une constatation et il faut en expliquer les mécanismes, s’il y en a.
 
Il semblerait logique de penser que l’utilisation populaire d’un tel système sans aucune règle d’hygiène aurait du provoquer un taux plus important sinon inquiétant de maladies facilement transmissibles comme la grippe, la sinusite, la dysenterie etc.
 
Pourtant, force est de constater que non seulement le taux n’est pas important, mais qu’il semble être moitié moins que la population normale.

Le simple fait d’utiliser un tel système d’eau potable et ce, depuis des siècles devrait attiser notre curiosité : pourquoi et comment cela perdure et pourquoi cela ne provoque aucune épidémie ?

Au delà des résultats des petits tests faits avec les moyens simples, il faut approfondir et essayer de comprendre pourquoi ce système ne provoque pas de graves maladies.

On peut essayer d’avancer des explications simples.

Est-ce que le fait que la charge bactérienne ou virale est probablement infime provoque une réaction du système immunitaire de la personne infectée et lui donne une sorte de vaccination à petites doses régulières ?

Est-ce que le système en fer blanc associé à du cuivre a un effet physique (courant induit entre deux métaux, oxydation du cuivre, etc.) qui désinfecte en permanence le système ?

Est-ce que la salive désinfecte et empêche la contamination ?

Le simple fait que ces systèmes ne semblent pas provoquer de vastes maladies, doit nous inciter à y regarder de plus près et au-delà des résultats de notre étude statistique, comprendre pourquoi et comment cela fonctionne et semble même vacciner contre des maladies assez répandues et facilement transmissibles.

























































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Francois Pourbagher
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Babak Pourbagher
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